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la plage de Kerarzic

Peinture silencieuse, contemplative, qui pactise avec le temps.

Le temps de la peinture n'est celui du regard, souvent rapide. Le spectateur est cependant vite fasciné par ce qu'il découvre et s'attarde à son tour, séduit par la douceur de vivre, le bonheur des joies simples émanant de ces tableaux. Ici des enfants s'amusent sur une plage, une femme songe  à la fenêtre, des promeneurs s'attardent sur un chemin de compagne ombragé, là c'est un moment dérobé lors du déjeuner du matin. Tous comme les lieux, les modèles de James MacKeown lui sont familiers, ses enfants, son épouse, la maison normande, où l'artiste, né en 1961, a vécu et dont le souvenir ne s'est pas effacé. sa mémoire compilant les strates d'un temps qu'il a arrêté. Sa peinture répond à cette suspension rêveuse. Les préoccupations du résolues, il se consacre pleinement à la liberté de l'expression. Sa vision se nourrit de la réalité visibIe, dont il s'attache à transcrire l'impalpabilité des apparences. Il y parvient par une densité de la matière qu'il fait jouer avec la fluidité de la lumière. la modulaton de la couleur. L'outremer aux résonances mystérieuses par sa texture ponctuée de blanc et de gris dans ses vues de Venise, les terres et ocres, rouge et le jaune de Naples pour le bouquet devant la fenêtre expriment le symbole de l'énergie créatrice. La couleur dominante de tels intérieurs cache ou dévoile un intimisme Vuillardien. La magie opère renouvelée dans la variété de ses thèmes et dans la façon dont il métamorphase.

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Lydia Haranbourg. 

La Gazette de Drouot.

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Né en 1961, James Mackeown a grandi en Irlande, à East Anglia, en Turquie et au Pays de Galles. Il vit actuellement en Bretagne près de Paimpol après avoir été de nombreuses années en Normandie, tout en gardant d’étroites relations avec le Royaume Uni, l’Irlande et le Pays de Galles.
James Mackeown est un artiste autodidacte, il a commencé à peindre dès son jeune âge. Dès ses 16 ans il commence à exposer son travail. Ses nombreuses expositions permettent à ses œuvres de trouver un public large et se trouvent dans de nombreuses collections privées et publiques. Il est présenté en permanence à Paris au sein de la Galerie Jamault mais aussi à Londres et  Dublin.
James Mackeown développe une peinture douce et sereine avec une palette aux couleurs riches et sincère. Sa peinture renvoie aux sentiments post Impressionnistes, les sujets s’articulent souvent autour de la présence d’eau et particulièrement de la mer. L’artiste maitrise parfaitement les effets de la lumière qu’il nous donne à voir sur un paysage, une scène de vie intime et tout particulièrement une vue de bord de mer où il intègre avec brio la joie des enfants jouant sur une plage. Ses sujets sont des instants de bonheur sincère.

La galerie Jamault, Paris

Un artiste d'origine irlandaise, formé dans le Norfolk, dont l'œuvre ne cesse de faire sensation sur les marchés européens : James MacKeown.

 

Né en 1961, James MacKeown est le petit-fils du célèbre artiste irlandais Tom Carr (1909-1999). Il a étudié à Gresham's, à Holt. Son enfance, loin du Norfolk, a été marquée par de nombreux voyages : il a passé du temps en Turquie, au Pays de Galles, en Irlande et en Angleterre.

 

Il n'a reçu aucune formation artistique formelle. Issu d'une famille d'artistes, il a été encouragé à peindre dès son plus jeune âge, tant par son père (le peintre Martin MacKeown) que par son grand-père, Tom Carr, lui-même artiste renommé, qui avait étudié à la Slade School de Londres et était étroitement lié au mouvement de l'École d'Euston Road dans les années 1930.

 

 C’est cette immersion dans un milieu artistique et créatif qui a inspiré à MacKeown junior sa passion pour la peinture. Dès l’âge de 15 ans, ses œuvres étaient exposées en Irlande et au Royaume-Uni, et il a bénéficié de sa première exposition personnelle à seulement 17 ans.

 

Plusieurs écoles d’art lui ont proposé une place, mais sur les conseils de William Coldstream, un ami de la famille et lui-même artiste, il a décidé de décliner ces offres et de tracer son propre chemin dans le monde de l’art. En 1988, à 27 ans, il s’est installé à Étretat, en Normandie, et vit depuis en France, désormais en Bretagne.

 

Son œuvre est presque exclusivement figurative : marines, plages, scènes de café et portraits y figurent en bonne place. Influencés par les impressionnistes, ses tableaux se caractérisent par une ambiance douce et des scènes intimes de la vie quotidienne. On dit de son travail qu’il dégage une certaine « mélancolie lumineuse ».

 

 MacKeown est un artiste qui laisse parler ses pinceaux. Il écrit : « J'ai souvent réfléchi à la difficulté d'écrire sur la peinture, sur l'art, ou même sur quoi que ce soit d'autre. Je trouve tellement plus simple et agréable de me réfugier dans mon atelier, un pinceau à la main, et d'éviter toute conversation sur mon travail.

 

« Même si je peux passer du temps à contempler ce que je fais, ou ce que je ne fais pas, la simple idée de devoir décrire et analyser le résultat sans l'aide de mon pinceau me donne des sueurs froides. »

 

MacKeown a incontestablement connu le succès, tant en exposition qu'en vente. Ses toiles figurent dans de prestigieuses collections,  publique et privée, et il a fait l'objet d'expositions individuelles à travers l'Europe.

 

....le style moderniste et contemporain de MacKeown a conquis de nombreux admirateurs, et ses œuvres sont aujourd'hui très recherchées.

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Keys. 2025

« Intime, avec un œil sur l'intimité de la vie quotidienne renforcée par la couleur et le silence. Une vie calme et reposante. »

James MacKeown est un artiste figuratif primé vivant en France dont les peintures sont présentées chaque année dans des expositions personnelles à l'échelle nationale, ainsi qu'en Angleterre, en Irlande et en Suisse. A travers son art, il s'efforce de transmettre le sublime dans l'intimité de la vie quotidienne et privée. L'improvisation apparente dans ses œuvres est en réalité le résultat d'une élaboration extrême et raffinée; la palette de couleurs méticuleusement construite avec des dégradés doux combinés avec un toucher doux. En tant que tel, MacKeown s'identifie comme un «peintre de l'intimité». S'il représente parfois des sujets surréalistes, ils suivent également sa vision et sa philosophie particulières de la vie quotidienne.
(Singulart, 2020)

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la rivière, james mackeown

Quoi qu’il puisse faire, l’œuvre d’un peintre est le reflet profond de ce qu’il est. Son portrait

intérieur en somme. Ce qu’il dit de lui-même ne fait, le plus souvent, que confirmer cette

impression. Son atelier, à ce propos, apparaît comme l’écrin de ses rêves, de ses pensées les plus secrètes. Il est le lieu où ses visions, jour après jour, s’incarnent sur la toile blanche. D’une nature contemplative, James MacKeown l’envisage comme une sorte de refuge, un espace protégé des atteintes du monde extérieur. A Fécamp, celui qu’il s’est aménagé depuis un an répond parfaitement à son besoin de solitude et de tranquillité. Le silence y laisse respirer chaque toile. On dirait parfois qu’elles chuchotent entre elles, qu’elles complotent. « Ici, explique-t-il, je travaille davantage les nuances de la lumière. Mes couleurs se sont adoucies ce qui me permet d’explorer de nouvelles tonalités ». Saluée comme l’élément fondateur de la peinture, la lumière est pour James MacKeown la grande source inspiratrice, l’inépuisable réservoir où il puise la matière quintessenciée de ses tableaux. Paysages, portraits, nus, scènes d’une vie heureuse défilent, soulignant la quête d’harmonie à laquelle James a voué sa vie. 

D’origine irlandaise, c’est à l’âge de quatorze ans qu’il découvrit la côte d’albâtre et la lumière

évanescente des ciels normands. Ce fut pour lui comme une révélation. Amoureux de nos riva￾ges, il prit goût à cette atmosphère qui, par certains aspects, lui rappelait sa terre natale. La peinture

est aussi une forme d’ancrage. Une manière de s’immerger dans le monde des sensations. Pour James MacKeown, elle est devenue une compagne de chaque jour. Il ne peut se passer des joies et du bien être qu’elle lui procure. Ainsi, même quand il voyage, il s’efforce de travailler au moins une heure ou deux par jour, emportant avec lui crayons, pinceaux et carnets de croquis. « Quand je ne travaille pas, en dehors des moments que je partage avec ma famille, j’ai très vite l’impression de perdre mon temps. Peindre est pour moi un besoin viscéral. Adolescent, la peinture s’imposa comme une fenêtre ouverte. En France, les fenêtres s’ouvrent de telle manière qu’elles nous procurent la sensation de

laisser entrer l’extérieur. Peindre est ma manière d’être au cœur de la vie. Mon travail m’a permis

de comprendre l’importance des choses éphémères. Le ciel, les nuages, les mouvements soudains du feuillage, la mer. On est muet devant la mer. Aucun mot ne peut exprimer sa présence, sa fascinante beauté, son mouvement incessant, son éternelle métamorphose ». 

La peinture représente pour lui une reconquête de

son enfance. Stimulée par son grand-père, en qui il se reconnaissait, sa précoce vocation fut nourrie

par une sensibilité sans cesse en éveil. Il avoue aussi son penchant pour la poésie, notamment celle du Gallois Dylan Thomas qui écrivit : voici les vagues : des danseurs sur un parquet d’émeraude font des pointes ; ou encore : n’entre pas sans violence dans cette bonne nuit : rager, s’enrager contre la mort de la lumière. 

Luis PORQUET

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James MacKeown, peintre irlandais né en 1961, a grandi entre l’Irlande, l’Angleterre, la Turquie et le Pays de Galles, des expériences multiculturelles qui enrichissent aujourd’hui son regard artistique. Petit-fils du peintre irlandais Tom Carr, James MacKeown baigne dès son enfance dans un environnement créatif. À 15 ans, ses œuvres sont déjà exposées en Irlande et au Royaume-Uni, une reconnaissance précoce qui confirme son talent.

UN PARCOURS ARTISTIQUE MARQUÉ PAR L’INDÉPENDANCE

Bien qu’accepté dans plusieurs écoles d’art, il choisit de tracer sa propre voie, inspiré par les conseils de l’artiste William Coldstream, ami de sa famille. James MacKeown s’installe en Normandie près d’Étretat en 1988, avant de poser ses valises en Bretagne, où il vit actuellement dans les Côtes-d’Armor.

UNE ŒUVRE ENTRE LUMIÈRE ET INTIMITÉ

La peinture de James MacKeown se distingue par son atmosphère douce et ses scènes de vie intimistes. Il capture la poésie des moments quotidiens avec une palette subtile et des touches vibrantes. Ses compositions incluent des paysages marins, des scènes de café ou encore des plages, évoquant une certaine mélancolie lumineuse.

Ses œuvres figurent dans des collections prestigieuses telles que celles de la National Library of Wales ou de la Fondation Colas. James MacKeown expose régulièrement en France et à l’étranger, notamment à Paris, Genève et Dublin.

Si vous appréciez la sensibilité des peintres impressionnistes, explorez notre collection dédiée, ou découvrez des œuvres inspirées par la nature et lespaysages.

(Rise Art, 2023)

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